 |
 |
 |
 |
 |
 |
 |
 |
 |
 |
|
livre premier
Naissance du père Jean-François Régis. Sa mère l’élève saintement. La pureté de ses mœurs. Sa dévotion envers la Sainte Vierge. Son zèle pour gagner à Dieu ses condisciples. Il tombe malade. Il est appelé à la compagnie de Jésus. Il fait les vœux de religion. Il prêche avec beaucoup de fruit dans les villages. Il enseigne les lettres humaines au Puy, l’an 1625. Son application à former ses écoliers dans les lettres et la piété. Sa charité pour ses écoliers pauvres et malades. Un de ses écoliers est guéri par ses prières. Ses écoliers le vénèrent comme un Saint. Les fêtes et les dimanches il va instruire les peuples de la campagne. Il commence ses études de théologie à Toulouse, l’an 1628. Il se dévoue au service des pestiférés. Il fait une mission dans son pays avec beaucoup de fruit. Sa charité pour les pauvres.
livre second
Il convertit une femme hérétique. Il gagne à Dieu plusieurs femmes de mauvaise vie. Il commence un établissement pour les pécheresses converties. L’ordre qu’il gardait dans ses missions. Les grands biens qu’il a faits à Sommières. Son courage pour sauver une église du pillage. Il reçoit un sanglant outrage avec joie. Un officier hérétique est édifié de son humilité. Il gagne à Dieu le comte de la Mothe-Brion. Il travaille à régler les mœurs des curés. Fruits extraordinaires du zèle de Régis. Célèbre conversion d’une dame hérétique. On forme le dessein de le perdre dans l’esprit de l’évêque. Il refuse de se justifier. L’évêque de Viviers est charmé de son humilité. L’évêque le loue publiquement. Il demande à son général la mission du Canada, l’an 1634. Il fait la mission au Cheylard, au commencement de 1635. L’abondance des neiges l’oblige à s’arrêter trois semaines dans un lieu désert. Il fait la mission à Lacham et dans les lieux circonvoisins. Il fait la mission à Privas.
L’évêque de Valence le prie de faire la mission à Saint-Agrève. Il va à Saint-Agrève avec beaucoup de fatigues, l’an 1635. Sa patience héroïque. Son union avec Dieu au milieu des distractions de ses emplois. Il va faire la mission à Marlhes, sur la fin de l’an 1635. Quelques morceaux de son manteau guérissent deux malades. Eloges que le curé de Marlhes fait du serviteur de Dieu. Son général lui refuse la mission du Canada, et combien il en est affligé.
livre troisième
En quel état il trouve la ville du Puy. Il prêche au Puy l’an 1636, et avec quel succès. Son provincial est charmé et touché de la simplicité de ses discours. Éloge qu’un bénédictin fait de sa vie tout apostolique. Son ardente charité pour les pauvres. Il forme une société de dames charitables pour le soulagement des pauvres. Il unit plusieurs dames entre elles pour faire subsister les prisonniers. Dieu multiplie jusqu’à trois fois le blé qu’il avait ramassé. Avec quel zèle il assiste les malades. Il dispose une jeune personne à une sainte mort. Rare exemple de son héroïque charité. Il guérit plusieurs malades. Il convertit un pécheur scandaleux. Sa charité envers un pécheur converti. Avec quelle force il combat le blasphème. Il donne un rare exemple de patience. Il fait sans relâche la guerre à l’impudicité. Il convertit et retire du danger plusieurs pécheresses. Il établit une maison pour les pécheresses pénitentes. On s’élève contre le refuge. On lui défend de prendre soin du refuge, et il obéit. Il reprend le soin du refuge, et lui donne sa dernière perfection. La conversion des pécheurs lui attire de grandes persécutions. Son courage héroïque. On l’accable de coups. On se met en devoir de le tuer. On lui donne un soufflet. On le maltraite avec furie. On le charge d’injures atroces. Son courage au milieu de ses traversées. Le provincial écrivant au général, fait aussi l’éloge de la vertu de Régis. Les grands biens qu’il fait au Puy.
livre quatrième
Il fait la mission à Fay et aux environs, l’an 1636. Il guérit deux aveugles. On accourt de toutes parts à ses sermons, et quel en était le fruit. Punition d’un pécheur endurci. Il va commencer la mission à Marlhes, sur la fin de 1637. Eloge que le curé de Marlhes fait de sa vie apostolique. Le recteur lui ordonne d’obéir au curé. Il est souvent ravi en extase. Il chasse le malin esprit. Il opère plusieurs autres merveilles à Marlhes. Pendant l’hiver de 1638 il fait la mission à Monregard. Il convertit madame de Romezins, calviniste. Il commence la mission à Monfaucon, au commencement de l’an 1640. Il se consacre au service des pestiférés. Il s’expose à la mort sans ménagement. Le curé lui ordonne d’abandonner le soin des pestiférés. Il sort de la ville avec une amère affliction. Il délivre la ville de la peste par ses prières. Il assiste les pestiférés à Monregard. Il retourne à Monfaucon, et y reprend les exercices de la mission. Il est obligé d’interrompre une seconde fois la mission de Monfaucon. Dieu lui inspire le dessein de former une société de missionnaires. Il recommence la mission à Monfaucon, pendant l’automne de l’an 1640. Il connaît par une lumière divine que sa dernière heure est proche. Il entre en retraite pour se préparer à la mort. Il va à La Louvesc, et ce qu’il souffre dans ce voyage. Il passe la nuit dans une masure, et il y tombe malade d’une pleurésie. Il commence la mission à la Louvesc, tout mourant qu’il était. L’excès de ses derniers travaux. Absolument épuise, il tombe en défaillance. Il fait une confession générale, et qu’elle est l’innocence de sa vie. Il reçoit les derniers sacrements. Il désire mourir dans une étable. Jésus et Marie lui apparaissent. Sa mort. Combien il est regretté des peuples. A quel point il est révéré après sa mort. La ville du Puy est consternée de sa mort. La dévotion de la ville du Puy envers lui.
livre cinquième
Sa charité envers Dieu. Son union avec Dieu. Sa dévotion envers l’Eucharistie. Sa confiance en Dieu. Son zèle pour le salut des âmes. Son tendre amour pour les pauvres. Sa mortification et son amour de la croix. Sa mortification intérieure. Son humilité. Sa pauvreté évangélique. Son obéissance. Sa pureté angélique.
livre sixième
Son tombeau devient célèbre par les miracles et le concours des peuples. Témoignage des évêques sur ses miracles. Il guérit une religieuse hydropique, paralytique et agonisante. Un bourgeois du Puy délivré d’une triple hernie. Il rend la vue à deux femmes aveugles. Célèbre guérison d’un cancer. Un jeune homme guéri des écrouelles à La Louvesc. Une jeune fille perdue de tous ses membres recouvre la santé à la Louvesc. Merveilleuse guérison d’une religieuse de Moulins. Deux autres guérisons à Moulins. Diverses guérisons dans le Vivarais. Guérison du fils du comte du Fay de la Tour-Maubourg. Diverses guérisons arrivées dans le temps qu’on disait la messe à la Louvesc. Divers malades guéris en invoquant le serviteur de Dieu. Diverses merveilles opérées par l’attouchement de ses habits. Un nombre infini de guérisons arrivées en diverses provinces. On procède à sa canonisation. Le roi, les évêques, les villes et la noblesse du Languedoc la demandent au pape. Examen des vertus du bienheureux Régis. Le pape déclare qu’il les a pratiquées dans le degré héroïque. Décret touchant les vertus du bienheureux Régis. Examen des miracles. Combien cet examen est exact et rigoureux. Décret touchant les miracles du bienheureux Régis. Décret pour la béatification du bienheureux Jean-François Régis. Béatification du serviteur de Dieu Jean-François Régis. Lettre du roi très chrétien au pape Clément XII. Lettre de la reine de France. Lettre du roi catholique. Extrait de la lettre du clergé de France. Extrait de la lettre des Etats-Généraux de la province du Languedoc.
NEUVAINE A L’HONNEUR DE SAINT JEAN-FRANÇOIS RÉGIS. SUJETS DE MÉDITATIONS POUR TOUS LES JOURS DE LA NEUVAINE. NOTICE SUR LA TRANSLATION DU CORPS DE SAINT JEAN-FRANÇOIS RÉGIS.
RELATION DE LA SECONDE TRANSLATION DES RELIQUES DE SAINT JEAN-FRANÇOIS RÉGIS. DISCOURS PRONONCÉ À LA SECONDE TRANSLATION DES RELIQUES DE SAINT JEAN-FRANÇOIS RÉGIS.
APPENDICES À LAVIE DE SAINT FRANÇOIS RÉGIS Par M. l’Abbé Jean ROGER, Curé de Fontcouverte.
PREMIER APPENDICE : 1° FONTCOUVERTE. 2º famille de régis. 3º solennité de la béatification de jean-françois régis, célébrée a fontcouverte le 11 septembre 1716. 4º berceau de saint régis. 5º église. 6º pèlerinage. 7º reliques et souvenirs.
DEUXIÈME APPENDICE. LA LOUVESC. 1º la louvesc. — pèlerinage au tombeau de saint jean-françois régis. 2º troisième translation des reliques de Saint Jean-François.